Vous trouverez ici une description de certaines des créatures les plus fantastiques du monde de Samudra. Elles sont classées en ordre alphabétiques. N'ayez crainte de les utiliser dans vos RP, afin de les alimenter ou de mettre du piquant. Si vous avez quelque question que ce soit par rapport à ces créatures, n'hésitez pas à contacter l'administration.
Si vous voulez participer à la création du Bestiaire, il est toujours possible d'ajouter des créatures. Pour cela, vous n'avez qu'à les soumettre à l'administration. Pour plus d'information, veuillez visiter la section suggestion.
Note sur les statistiques:
Voici une brève description des statistiques utilisées pour les monstres:
Physique : Le physique représente la force et l'endurance d'une créature.
Agilité : L'agilité regroupe le déplacement, la vitesse et la dextérité manuelle d'une créature.
Mental : Le mental détermine l'intelligence, les connaissances et l'intuition d'une créature.
Pouvoir : Similaire au Charisme des personnage, le pouvoir représente l'influence que peut avoir une créature sur le monde, et sur les autres créatures.
Magie : La caractéristique Magie représente tant la capacité d'une créature à user de magie que sa propre nature mystique.
Index
₪ Akule - Gardien omniscient des forêts ₪ Byarecus - Crocodile primal ₪ Crâne de feu - Sorciers des Arts Sombres ₪ Dianoto - Monstre des bas fonds ₪ Draparoo - Igouanes volants ₪ Eishën - Terreur des glaciers ₪ Firisa - Fée des profondeurs ₪ Feu follet - Fée de la lumière ₪ Glaad - Cauchemar gris ₪ Hegwy - Fée des maisons ₪ Idlaxyi - Barbare charognard des côtes ₪ Igaze - Requins amphibiens ₪ Iskassa - Chats marins domestiques ₪ Jirn'ax - Chasseur des Enfers Glacés ₪ Kaah - Horreurs des cavernes ₪ Lakaar - Ombre de la tristesse ₪ Luloos - Jelée sanguine ₪ Mahaanth - Golem animal ₪ Mirjann - Félidé arc-en-ciel ₪ Noble déchu - Cavalier fantôme ₪ Nuniu - Esprit shamanique ₪ Obscurias - Revenant des brumes ₪ Okalarn - Diables aveugles enragés ₪ Rau - Destrier des océans ₪ Ruul - Île vivante ₪ Shaelan - Seigneur des Cauchemars ₪ Shunkaha Wanagi - L’esprit du loup ₪ Swalach - Baleine céleste ₪ Syta - Puce de fer ₪ Terhax Axacar - Grand félin ailé ₪ Thmava - Chasseur de cauchemars ₪ Ugzmak - Démon légionnaire ₪ Vorca - Grotesque horreur des chaleurs incontrôlables ₪ Wilkan / Amraq’n - Loup glacial ₪ Ytonanyi - Gardien des lacs ₪ Zargun - Racines du Mal
Dernière édition par L'Érudit le Sam 22 Nov - 10:39, édité 8 fois
Les Akule (même orthographe au pluriel) sont de petites fées vivant dans les forêts, les bois et les sous-bois de Samudra. On dit qu’elles naissent dans les Moraea, des fleurs ornées d’un point noir, ressemblant fortement à un œil. Elles sont très petites et semblent fragiles, mais ce qui est le plus impressionnant c’est leur corps recouvert de dizaines de petits yeux, que ce soit dans leurs cheveux, sur leur torse ou leurs mains. L’emplacement et la couleur de ces yeux ne sont identiques sur aucune d’entre elles. On dit que la couleur de leurs yeux et de leur peau dépend majoritairement de la fleur et de la saison où elles sont nées.
Mode de vie
Craintives, ces créatures ne sont pas du genre à se montrer très souvent sauf aux gens respectant véritablement la nature. Elles sont petites, fragiles et fascinées par les êtres vivants normaux. Contrairement à la plupart de leurs cousines, elles ne sont pas mesquines. Elles se contentent d’observer ce qui se passe dans les forêts et de faire des rapports très détaillés à qui de droit. Il leur arrive de se lier d’amitié à un Asheti ou un Naveediel, ses rapports seront donc faits à cette personne.
Dernière édition par L'Érudit le Sam 22 Nov - 11:19, édité 8 fois
Les Byarecus sont de vifs prédateurs marins rappelant leurs cousins crocodies. Beaucoup plus grands que les crocodiles habituels, leur peau est recouverte d'écailles beaucoup plus fines, allant du gris au bleu de Prusse. Bien qu'on puisse croire que ces écailles offrent une mince protection, elles sont réputées pour leur étonnante solidité et leur capacité de changer de couleur avec leur environnement. De plus, les os du Byarecus sont excessivement solides et possèdent la capacités de se régénérer lorsqu'ils sont brisés. Leur échine est parcourue de plaques osseuses s'élevant en de menaçant pics. Les différentes les plus notoires avec leurs cousins sont les nombreuses pattes qui ornent leur corps, toute palmées. En tout, ces créatures possèdent entre huit et douze paires de pattes qui leur permettent vitesse et agilité dans l'eau et sur la terre. Les pattes antérieures sont plus longues et plus musclées, allant jusqu'à ressembler à des mains. Leurs petits yeux sont des points reflétant aisément la lumières, et leurs crocs, encastrés dans une solide machoire, sont des plus mortels.
Mode de vie
Heureusement peu nombreux à ce jour, les Byarecus sont de puissants prédateurs connaissant tant la brutalité que la plus grande patience. Ils ne se reproduisent heureusement que peu souvent, et la plupart des nouveaux-nés sont difformes et abandonnés par leur parents. Leur apparition a été noté pour la première fois il y a quelques centaines d'années autour de la Mer des Douleurs. Un peu comme les It'skai, on les croit des créatures déformées par l'influence de la Chute. Il n'en reste pas moi que cet effrayant prédateur sait s'adapter aux eaux douces comme salées et peut vivre confortablement jusqu'à 200 mètres sous la surface. Ayant lui-même peu d'ennemis outre les marcheurs de terre, il est en train de se tailleur une place comme l'un des plus redoutables prédateurs du règne animal.
Dernière édition par L'Érudit le Sam 22 Nov - 12:28, édité 6 fois
Les Crânes de feu sont exactement ce que leur nom décrit, un simple crâne, souvent déformé par la nature corrompue de leur maître, que ce soit par des cornes ou de longues dents. Ceux-ci flottent dans les airs et se déplacent très bien, mais leur plus grande particularité est le feu sombre qui les entoure de permanence, qui lèche la surface blanche. Ils ont la taille du crâne du sorcier, donc une taille généralement semblable à celle des Laiken, mais leurs caractéristiques supplémentaires les rendent encore plus effrayants. On dit que dans les orbites des plus sombres, flotte un simple petit feu follet, comme une lueur de démence.
Mode de vie
Ces créatures heureusement très rares n'ont pas de mode de vie véritable. Elles sont très intelligentes, mais, corrompues par leur pratique des Arts noirs. La perversion, la destruction et la haine qui habitent leurs pensées les font bien rapidement sombrer dans la folie. Il est possible pour eux d'avoir une conversation avec les gens, mais ils ne le font que très rarement, car lorsqu'ils s'éveillent ils préfèrent semer la destruction sans la moindre arrière-pensée. Il n'est pas confirmé ou infirmé que ces créatures soient des démons, mais c'est une possibilité, car elles servent bien souvent les desseins démoniaques. Cela pourrait bien être sans le vouloir véritablement. Si un sorcier qui pratique les oeuvres au noir meurt lors d'un rituel, il y a de bonnes chances qu'il devienne un crâne de feu. Il n'es tpas rares pour ces créatures de former des alliances avec d'autres crânes de feu, ce qui les rend excessivement dangereuses.
Dernière édition par L'Érudit le Sam 22 Nov - 12:27, édité 4 fois
Les dianotons sont parfois décrits comme un mélange entre un poisson des profondeurs et une limace de mer. Leur corps mou et gonflé est recouvert d'une peau épaisse qui sécrète un mucus clair, et présentent de nombreuses excroissances qui sont à la fois des tentacules et des nageoires. L'extrémité de chacune de ces excroissances est lumineuse, tout comme le bout du filin qui se dresse au-dessus de leur tête. Leur bouche est une simple ventouse sans dents entourées d'une dizaine de petits tentacules, pouvant néanmoins exercer une force de succion suffisante pour briser un coquillage pour les plus petits spécimens, ou un bloc de corail pour les plus gros. Ce sont des nageurs lents et maladroits qui attendent la plupart du temps que leur proie vienne jusqu'à eux. Un dianoton n'arrête pas de grandir au cours de sa vie, et selon toute vraisemblance, ne meurt pas de vieillesse. Les plus courants font entre 30 et 80 cm, mais on peut trouver des individus plus vieux allant jusqu'à 6 ou 7 mètres de long, et certains plongeurs parlent de monstres presque immobiles de plus de 40 mètres de long.
Mode de vie
Les dianotons chassent la plupart du temps la nuit, ou bien dans les eaux profondes, là ou leurs lumières peuvent attirer à eux des proies qu'ils pourront avaler d'un seul coup. Chaque dianoton est hermaphrodite, mais ils ne peuvent en général pas s'autoféconder. Chacun sécrète des œufs de manière quasi continue, et en rencontrant un autre dianoton, les relâches pour qu'ils soient fécondés. Les œufs de dianotons sont un met apprécié par de nombreuses cultures.
Draparoo
Iguanes volants
Image copyright de Mike Correiro Texte de Merin
Statistiques
Physique
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Agilité
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Mental
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Pouvoir
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Magie
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Fiche
Fréquence
■ ■ ■ ■ ■ ■ □ □ □ □
Puissance
■ □ □ □ □ □ □ □ □ □
Agressivité
■ ■ ■ □ □ □ □ □ □ □
Habitat
Littoraux et mer
Taille
Envergure: 0,5 à 3,5 m
Poids
1 à 17 kg
Description physique
Le draparoo est un étrange mélange de reptile et d'oiseau. Recouvert d'écailles et présentant une gueule qui tient plus de la tortue marine ou du lézard, il a cependant de grandes ailes pas tout a fait membraneuses et une teinte très colorée qui rappelle plus certains oiseaux tropicaux. Pour celui qui l'observe en vol, il est indéniable que c'est un oiseau similaire à un grand perroquet. Toutefois, une fois à terre, ses quatre pattes et sa façon de se comporter rappellent plus l'iguane.
On recense plus de dix-sept types de draparoo sur Samudra, allant du draparoo d'étain, petit pécheur de mangrove ; au majestueux draparoo turquoise, ou draparoo royal, ainsi nommé pour les excroissances dorées que l'on aperçoit sur le front des mâles, que l'on rencontre plus souvent en haute mer. Leurs couleurs sont souvent chatoyantes, variant selon l'espèce, le sexe et l'âgé de l'individu.
Les draparoo sont l'un des très rares types de vertébrés possédant six membres distincts (patte antérieure, postérieure et ailes). Ce qui, couplé avec leurs traits à la fois reptiliens et avines, fait d'eux de véritables merveilles de la nature.
Mode de vie
Ils vivent pour la plupart sur les littoraux ou les ilots, se nourrissant de poissons qu'ils pêchent en plongeant depuis les airs. Certaines espèces, comme le draparoo royal, passent la majeure partie de leur existence en haute mer, ne revenant sur terre que pour nicher sur des ilots isolés. Leur mode de vie dépend en grande partie de leur taille. Les plus petites espèces sont souvent observées formant de vastes groupes, alors que les plus grandes sont souvent solitaires. Ceci n'est qu'une tendance générale, et il est possible de voir de petits draparoos seuls sur un ilot, ou de grands rassemblements des espèces plus imposantes, notamment lors des périodes de ponte. Ils peuvent manger des poissons, des calamars, des crustacés ou des mollusques la plupart du temps, mais certaines grandes espèces peuvent aussi s'attaquer aux oiseaux.
Occasionnellement, un draparoo de moyenne taille (un lapis ou un miroitant) peut remplacer le perroquet comme mascotte à bord d'un navire.
Dernière édition par L'Érudit le Sam 22 Nov - 12:35, édité 3 fois
La terreur des glaciers possède deux modes distincts. Premièrement, lorsqu’elle est au repos, elle ressemble à un petit glacier qui dérive paisiblement sur les eaux. Il faudra des yeux d’expert pour remarquer les mouvements particuliers de ce glacier et les yeux qui bien cachés sous les pattes qui ne sembleront que former le socle du glacier. Lorsqu’ils se réveillent pour se nourrir, ces prédateurs attendent calmement leurs proies, généralement sur le bord de banquise, ou dans l’eau. Physiquement, elles ressemblent à d’énormes insectes avec de grandes pattes avant et de petites pattes arrière (huit au total), dont les plus petites servent à le diriger, maladroitement, et à nager, alors que les plus grandes peuvent faire office d’arme naturelle. Le bas de l’iceberg devient aussi une queue (généralement repliée sous la forme de glacier) qui peut servir à attaquer, mais surtout ce sont les grandes dents et la grande gueule de cette énorme créature qui lui permettent de dévorer tout sur son passage. Dans un cas comme l’autre, son dos est parcouru d’étranges formes de glaces, ou du moins d’une structure osseuse ressemblant fortement à de la glace, les formes varient, mais irrémédiablement, quand les Terreurs sont aux calmes, on dirait un iceberg.
Mode de vie
Les Eishën sont d’abord et avant tout de redoutables prédateurs. Ce sont des êtres vivants à part entière, bien qu’animés d’une énergie magique, ils ont donc un mode de reproduction très particulier inutile à aborder ici. Lorsque nait un Eishën, il ne fait pas plus d’un mètre de long et s’annexe à sa mère pour la chasse, cependant il doit s’en séparer le plus tôt possible afin de survivre seul. Les Terreurs des glaces suivent généralement les icebergs dans leur course, se déplaçant très lentement, au fil des vagues, même si elles sont capables de nager (très maladroitement) lorsque c’est nécessaire. Elles sont uniquement carnivores, ne se nourrissant que de chair fraiche et généralement particulièrement grasse, faisant des phoques leurs cibles préférées. Il est plutôt rare de les voir attaquer des mammifères marins, mais pas des voyageurs ou des naufragés pris sur des carcasses de glace ou dans les eaux froides qu’elles parcourent.
Dernière édition par L'Érudit le Sam 22 Nov - 12:42, édité 3 fois
Les Firisa sont de toutes menues créatures, à la peau pâle tirant sur le gris. Ressemblant à de toute petites filles, elles ont de longs cheveux généralement noires (bien que quelques spécimens ayant d'autres teintes capilaires existent). Leurs yeux semblent trop grands pour leur petit visage et ils sont entièrement noirs, ne montrant que peu d'émotions. Comme bien d'autres fées, les Firisa possèdent une certaine coquetterie et se plaisent à porter des maquillages parfois fort complexes rappelant celui des bonnes dames. Si le haut de leur corps rappelle celui d'un enfant, le bas de leur corps rest en fait celui d'une pieuvre à seulement trois tentacules. Certains les comparent parfois aux Tsua Vodnì, comparaison que ces derniers trouvent très insultante.
Mode de vie
Les voraces fées des profondeurs sont des charognards s'alimentant à même les carcasses mortes, qu'elles soient humanoïdes ou animales s'échouant sur les fonds marins. Elles ne nagent pas très bien et se terrent très souvent dans les aciennes cités des marcheurs de terres où il est possible de se déplacer sans pour autant jamais quitter le sol. Elles sont particulièrement friandes de la chair des Vodnì. Il est communément accepté que de croiser plus d'une Firisa dans une même zone indique que la mort rode, car on leur attribue un sixième sens. Elles seraient en effet porteuse de malheur, du moins c'est ce que certains disent d'elles, alors que d'autres affirment qu'elles ne savent que sentir le malheur.
Mesquines, timides et désagréables, les Firisa ne se laissent pas aisément approcher par les autres races pensantes, mais il est admis que leur pire ennemi est leur propre curiosité.
Fossilite
Fossile vivant
Image copyright de Cheese Freeak Idée originale d'Akechi Hisoka
Statistiques
Physique
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Agilité
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Mental
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Pouvoir
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Magie
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Fiche
Fréquence
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Puissance
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Agressivité
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Habitat
Variable
Taille
Variable
Poids
Variable
Description physique
Les Fossilites ressemblent à un alliage d'os et de pierre, comme l'indique leur nature fossilisée. Leur taille et leur poids variable dépend presque entièrement de la nature du fossile qui a été ramené à la vie, cependant on considère que le poids de la nouvelle créature est généralement similaire à celui qu'elle avait lors de son vivant. Certes, ces créatures n'ont pas de peau, de muscle ou de gras, mais la pierre et les os qui composent l'organisme sont généralement très compacts.
Mode de vie
Ces créatures n'ont pas véritablement de mode de vie puisqu'elles ne sont que des animation d'anciennes créatures. Personne ne connait le processus exact par lequel ces fossiles reviennent à la vie. Elles ne vivent maintenant que pour manger et réclamer ce qu'elles leur croient du. En effet, elles ne sont pas plus intelligentes que par le passé, ces créatures ne sont que cela, des créatures sans grande pensée, et il serait sot de penser pouvoir en soutirer quoi que ce soit. Elles sont agressives, et ne connaissent pas la fuite ou la peur, rappelant plus des âmes en peine cherchant encore une raison d'être en vie. Plusieurs de ces créatures datent de bien avant la Chute, et on croit même que dans les fonds océaniques se trouvent des Fossilites datant d'avant l'arrivée des Easÿels sur ce monde.
Les Feux follets sont très différents les uns des autres, mais ils ont tous la caractéristique d’émettre de la lumière, une très douce lumière qui n’est pas suffisante pour bien éclairer une pièce mais juste assez pour se faire voir. Il y en a d’apparence mâle et femelle, mais la plupart ne semblent pas avoir de sexe comme les humains. Ce sont généralement de petits êtres aux traits fins se cachant dans un filet de lumière de couleurs variées (généralement blanc ou orangé, mais on peut parfois en voir des bleus ou des rouges). Ils sont partiellement translucides, ce qui leur permet de se cacher lorsqu’un danger arrive. Lorsqu’ils arrêtent de bouger ils perdent de leur éclat ce qui permet de mieux voir leurs traits.
Mode de vie
Ces petites fées vivent un peu partout, généralement dans les régions chaudes. Elles ne sont pas tenues de rester près de leur lieu de naissance. Elles ont une grande fascination pour le peuple des marcheurs de terre. Il leur arrive d’ailleurs de se lier d’amitié avec un de leur représentant et de l’accompagner dans ses voyages. Elles sont généralement joueuses et adorent par-dessus tout la musique et la danse, on dit même que leur voix est absolument exquise, mais rares sont ceux qui ont eu la chance de l’entendre. On les retrouve de plus en plus dans les villes car elles y viennent au monde depuis peu, il faut aussi dire que leurs affinités les plus marquées sont avec les Naveediels.
Dernière édition par L'Érudit le Sam 22 Nov - 12:50, édité 6 fois
De loin, le glaad ressemble à un grand orang-outan de couleur grise. Seule une observation plus proche révèle les différences flagrantes entre cette créature et un primate normal. Au niveau de ses coudes, ses membres supérieurs se séparent en deux, révélant quatre avant-bras agiles terminés par des mains griffues aux pouces opposables. Il utilise ces doubles membres pour se déplacer avec agilité dans la canopée des forêts ou ils vivent, pouvant même transporter de la nourriture ou des outils tout en se balançant sur les branches.
À première vue, il semble dépourvu de nez ou de bouche, les seuls traits visibles sur son visage étant deux grands yeux dorés à la pupille en croix. Sa gueule est en fait cachée sur le dessus de son crâne, s'ouvrant uniquement au moment de chasser ou de combattre, révélant une mâchoire verticale immense.
Mode de vie
Les glaad sont des prédateurs omnivores, vivant en groupes familiaux dirigés par une femelle dominante. Vivant dans les forêts de Shuo et des îles proches, ils sont considérés comme des mauvais présages par les populations locales, mais sont assez craints et respectés pour que beaucoup de villageois déposent des offrandes de nourriture dans la forêt à leur intention afin d'éviter leurs attaques. Leur surnom de « singe gladiateur » vient du fait que certains Dra'ani les capturent pour organiser des combats publics contre des gladiateurs humains ou d'autres animaux.
Dernière édition par L'Érudit le Sam 22 Nov - 12:54, édité 3 fois
Les Hegwy sont des fées que l'on peut retrouver à peu près partout sur Samudra. Elles sont très petites et aiment se cacher dans les maisons où il fait chaud et où elles peuvent se nourrir facilement. Elles ne sont pas mauvaises à proprement parler, mais comme beaucoup d'autres fées, elles aiment les objets brillants, il n'est donc pas rare de voir des objets disparaître lorsqu'elles habitent une maison et trouver la cause de ces disparitions peut s'avérer compliquées. Elles ne se reproduisent pas comme les humains, elles naissent, tout simplement, au gré de la nature. Même si elles ont des formes féminines elles n'ont pas de sexe à proprement parler.
Mode de vie
Les Hegwy sont des fées que l'on peut retrouver à peu près partout sur Samudra. Elles sont très petites et aiment se cacher dans les maisons où il fait chaud et où elles peuvent se nourrir facilement. Elles ne sont pas mauvaises à proprement parler, mais comme beaucoup d'autres fées, elles aiment les objets brillants, il n'est donc pas rare de voir des objets disparaître lorsqu'elles habitent une maison et trouver la cause de ces disparitions peut s'avérer compliquées. Elles ne se reproduisent pas comme les humains, elles naissent, tout simplement, au gré de la nature. Même si elles ont des formes féminines elles n'ont pas de sexe à proprement parler.
Dernière édition par L'Érudit le Lun 24 Nov - 13:10, édité 2 fois
Les Idlaxyis ne peuvent être vraiment décrits autrement que par horrible. Il s'agit de créatures d'une grandeur relativement humanoïde, bipède, avec des jambes légèrement disproportionnées (trop petites), avec une articulation supplémentaire. Leur peau est bleue, et semble généralement trop grande pour couvrir leur être en entier ce qui laisse d'étranges replis sur les bras et le ventre. Leur corps est couvert de quelques plaques chitineuses, notamment au niveau des cuisses, des genoux et des avant-bras, de même que le dos. Ils n'ont pas de cou, seulement une tête possédant de deux à six grands yeux noirs, et deux rangées de dents pointues et affilées en haut et en bas.
Mode de vie
Charognards les Idlaxyis vivants en petites colonies relativement structurées, en général on peut compter entre dix et trente individus par colonies. Leur intelligence est nettement inférieure à celle d'un Laiken moyen, ils ne vivent que par instinct, selon ce qu'on dit, or ils ont la capacité d'utiliser des armes très basiques et souvent les préféreront à leurs dents effilées pour le combat. Ils ont tendance à attendre que des navires s'échouent sur les rives des eaux où ils habitent ou encore des nageurs solitaires et à recueillir les cadavres pour les manger. Ils vivent généralement dans des cavernes se trouvant au bord des plages attendant chaque jour que la marée leur ramène quelque souper que ce soit.
Petits amphibiens, les Igazes sont plus petites que les autres sortes de requins existant dans ce vaste monde. Les plus grands spécimens ne faisant au plus que trois mètres. Bien que possédant un corps similaire à celui d'un petit requin, les Igazes sont montés sur des pattes arrières puissantes leur permettant de sauter sur leurs victimes terrestres. Leur pattes avant sont dotées de crochets flexibles qui servent à retenir leurs victimes. Le dessus de leur corps est généralement d'une couleur plutôt foncée, allant du noir au gris en passant par certaines teintes de bleu gris, et leur ventre, plus pâle, va du blanc à l'argenté. Leur visage est doté de quatre petits yeux noirs et argentés et leur gueule, qui ne parait pas impressionnante lorsqu'elle est fermée s'ouvre sur une mâchoire puissante possédant des dents acérées.
Mode de vie
Les Igazes sont des créatures de meute et sont rarement trouvées seules. Lorsqu'un Igaze se retrouve seul, c'est généralement qu'il a perdu sa meute ou qu'il a été abandonné. Seuls, ses chasseurs ne sont pas très efficaces, mais lorsqu'ils attaquent en groupe allant de 5 à 20, ils deviennent autrement plus dangereux. Attirés par l'odeur du sang qu'ils peuvent sentir à plusieurs centaines de mètres, n'agissent seulement que de concert. Ils savent se montrer la pire plaie pour des hommes de mers, conscients qu'il est plus difficile de vaincre un groupe d'assaillants qu'un seul d'entre eux. Se nourrissant généralement de poissons de toutes tailles, des mammifères marins et même des humanoïdes, selon leur faim et leur nombre.
Le corps des Iskassa rappelle fortement celui des félidés terrestres, ce qui incite plusieurs personnes à l'associer au Ytonanyi. Les écailles de ces petites créatures peuvent être de n'importe quelle couleur. L'espèce est divisée en plusieurs races et chacune possède sa propre palette de couleur. Leur crâne est renfoncé de plaques solides, de même que leurs vendres. Leurs petits crocs sont suffisamment puissant, mais des centaines d'années en captivité a réduit grandement leur taille et leur présence. Leurs pattes palmées sont musclées et capable de porter le poids des Iskassa tant dans la eaux que sur la terre. Pour aider leurs mouvements marins, des nageoires diaphanes sont présentes sur leurs pattes, leur dos et même sur leur longue queue. Un des éléments notoires de ces petites créatures sont leurs yeux qui, peu importent leur couleur sont toujours brillants, intimidants.
Mode de vie
Les chats marins ont été domestiqués par les Vodaran Vodnì il y a de cela plusieurs centaines d'années. Si au début, ils étaient le propre de la haute caste de cette société, maintenant ils sont répandus dans les territoires Vodaran et même au-delà de ceux-ci. Ces animaux de compagnie ne sont pas tous aussi dociles, et leur caractère peut souvent surprendre de nouveaux propriétaires. Il faut compter environ dix ans pour qu'un individu n'atteigne la maturité. Les premières années sont les plus difficiles, car ces créatures sont curieuses et très téméraires, mais au fil du temps, elles se calment et deviennent plus dociles. Leur espérance de vie frôle les 50 ans, ce qui est tout de même beaucoup moins que leurs propriétaires habituels. Bien que ces créatures soient amphibiennes, elles ne peuvent vivre très longtemps hors de l'eau (une semaine, deux tout au plus), et ne peuvent vivre dans les rares eaux douces de ce monde.
Dernière édition par L'Érudit le Lun 24 Nov - 13:34, édité 4 fois
Très grands, les Jirn'ax sont des créatures horribles qui trouvent leurs racines dans la plus sombre des noirceurs, dans les Enfers Glacés. Ils sont beaucoup plus grand que tout Laiken ou même Easÿel. Ils possèdent une paire de bras qui semble rattachée à son dos et dont les mains griffues et poilues sont toujours glacées. Ses jambes sont très longues et fines, pliées comme celles d'un animal et ornée de plaques chitineuses qui ne sont pas sans rappeler celles des insectes. Leur tête est plate, dotée d'une crête haute et très pointue. Pouvant facilement faire office d'arme, ses yeux sont très petits et bleus comme les grandes glaces, sa bouche aussi est très petite, pourvue de grandes dents à l'air très dangereux, finalement deux mandibules prennent place juste sous celle-ci, énormes et se terminant en griffes de glace meurtrières.
Mode de vie
Vivant dans les Enfers, on peut s'attendre à ce que ces créatures aient une grande utilité. En fait, ces démons sont des chasseurs et servent à traquer ceux qui oseraient défier Jürg en se sauvant dans les mers de Glace se trouvant sur les Enfers. Malheureusement, depuis quelques années, il n'est pas assez rare de croiser ces terribles chasseurs et leurs maîtres dans les mers froides des Samudra.
Dernière édition par L'Érudit le Lun 24 Nov - 13:54, édité 4 fois
Petites et laides, ces créatures sont tellement horribles qu’elles se font parfois peur entre elles. Elles ont une peau brunâtre et dure rappelant un peu la texture du cuir, ornée de petites pierres de grosseurs différentes, brillant légèrement, comme les appendices des créatures des profondeurs. La véritable horreur se trouve sur son visage, fendu complètement en deux par une bouche trop grande et remplie de longues dents affilées, des yeux sans vie, un nez généralement croche et un long menton, une tête trop grande pour son corps trop petit. Conscients de leur laideur, les Kaah se cachent souvent sous une lourde capuche.
Mode de vie
Ce sont des chasseurs qui vivent dans les cavernes, surtout celles près des mers. Les Kaah adorent chasser les Dra'ani. Ils sont très violents de nature et adorent amasser des petits trésors. En effet, ce sont des voleurs invétérés. Ils ne savent pas parler, mais ils sont capables de construire ou voler à peu près n’importe quoi, il arrive donc à certaines personnes de tenter de faire affaire avec ces créatures. Tant les Dra'ani que les Vodnì les considèrent comme des parasites, des pestes complètement inutiles outre pour les pierres qui ornent leur peau. Ainsi, il n'est pas rare que ces pestes soient massacrées et que leurs assaillants leur retirent leurs pierres auxquelles on attribue un certain pouvoir mystique.
Dernière édition par L'Érudit le Lun 24 Nov - 13:58, édité 4 fois
Toutes petites, ces créatures semblent complètement faites d'ombre sauf pour les deux petits points lumineux leur servant d'yeux. Lorsqu'elles se cachent dans l'ombre de quelqu'un, elles sont complètement invisibles sauf pour deux petits points blancs anormaux dans celle-ci, très difficiles à remarquer à l'oeil peu averti. Lorsqu'elles sont sur le sol, elles sont très lentes et très prudentes, munies de deux petits bras pour grimper et s'accrocher, ainsi que de deux jambes peu agiles. Elles ne bougent pas très vite et ressemblent à de petites ombres.
Mode de vie
Les Lakaar sont de petites créatures qui viennent d'autres lieux inconnus. Elles se nourrissent des émotions négatives des gens, ainsi, elles sont littéralement des parasites. Elles s'incrustent dans l'ombre d'une personne et lui cause ainsi des troubles comme de la tristesse et de la mélancolie. C'est ce qui les rendra très déprimées puis ils siphonnent leurs énergies par leurs pensées négatives. Les victimes finissent souvent par trouver le repos dans la mort et le Lakaar peut passer à une autre. Ils peuvent vivre environ un an sans victime, au total, et durant ces périodes difficiles, on voit des créatures timides et peureuses.
Ces créatures invertébrées ressemblent à des méduses de taille variable. Leur corps tubulaire ne comporte aucun orifice, mais plusieurs longs filaments s'en échappent. Leur couleur allant du rouge clair au bourgogne varie selon leur âge et leur état de santé, de plus elle est semi transparente. Leur taille varie selon le moment où elles se sont nourrit et de quand date le dernier corps consumé.
Mode de vie
Les Luloos sont des organismes vivants parasitaires s'infiltrant dans les corps vivants pour se nourir à même leur sang et leurs énergies vitales. Ces créatures sont rarement trouvées hors d'un hôte, car leurs mouvements mouvements lents (hors de l'eau comme sous l'eau) sont modulés par un corps limités. Les Luloos s'accrochent à des hôtes, s'infiltrant en eux lorsqu'elles sont font seulement quelques centimètres. Il est plus facile pour elles de s'infiltrer par des blessures ou des orifices, mais lorsqu'une victime est suffisamment inattentive (par exemple lorsqu'elle dort), elles peuvent s'infiltrer en elle par les pores de leur peau. Lorsqu'une Luloos entre dans une créature s'amorce alors un long processus qui mènera à la mort de celle-ci si elle ne se fait pas traiter. Si une créature meure des suites de l'absorbtion de son sang par la Luloos, elle se décomposera en une dizaine de nouvelles Luloos qui reprendront leur cycle. Ces créatures sont difficiles à détecter avant qu'il ne soit trop tard, moment où la peau de leur victime devient transparente et que la créature apparait visiblement sous leur peau. Il existe des remèdes permettant d'expulser les Luloos. Les Naveediels sont les plus au fait de ceux-ci, puisqu'ils connaissent et craignent ces parasites depuis fort longtemps.
Dernière édition par L'Érudit le Lun 24 Nov - 14:04, édité 4 fois
La taille et l'apparence des Mahaanth varient en fonction de l'animal qu'elles représentent, mais de façon générale elles mesurent entre un et quatre mètres. Faites presque entièrement de pierre blanche appelées Mahaa, les Mahaanth sont de grandes créatures animées entièrement par l'énergie magique. La plupart possèdent une tête représentant vaguement leur animal, mais elles semblent presque humanoïdes, ce sont des animaux anthropomorphiques. Elles sont décorées de pierres vertes ou rouges qui alimentent non seulement la créature, mais qui indique aussi son état (voir plus loin). Il n'est pas rare de les voir décorées de métaux précieux, preuve de leur importance, et leurs yeux brillent comme de petits feux follets, si elles sont en marches.
Mode de vie
On ne peut vraiment considérer que les Mahaanth soient vraiment en vie. Ils ont été construits dans des temps immémoriaux pour protéger les temples des Asheti. Représentant toujours un animal réel, les Mahaanth adoptent la personnalité de celui-ci, ou du moins la personnalité qu'on attribue à l'animal totem. Ce sont d'abord et avant tout des gardiens, ainsi quand ils sont en mode de défense et de protection, les pierres qui sont enchâssées sur eux sont vertes. Lorsqu'ils sont en mode d'attaque, elles deviendront rouges. La plupart d'entre eux ne possèdent pas la capacité de changer de mode, seul un de leurs maîtres, créateurs ou descendants de ceux-ci a un pouvoir véritable sur les Mahaanth. Aujourd'hui, on ne connait pas leur nombre exact, mais la technique pour les créer, comme bien d'autres choses, a été perdue ave la Chute.
Les Mirjann sont des félidés de taille moyenne. Leur pelage est d’une couleur changeant entre le bleu et le noir en fonction des saisons et de leur habitat. Contrairement à la plupart des félidés, leur tête est ornée d’une belle crinière très foncée. Cette crinière porte aussi de grands appendices colorés de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel, il en va de même pour sa tête et sa queue. Ils sont très agiles, et se cachent très bien dans leur environnement malgré leurs couleurs très évidentes.
Mode de vie
Ces créatures sont tout à fait naturelles et fascinantes. Elles vivent dans les jungles chaudes, elles sont donc devenues très rares sur Samudra après la chute, mais on disait par le passé que certains d’entre eux avaient la faculté de s’adresser aux Asheti. Bien que ce soit des créatures omnivores, contrairement à la plupart des autres félidés, les Mirjann mangent une grande quantité de fruit et de plantes. Ce qui fait de ces créatures des prédateurs très peu dangereux. Ils ne chassent jamais pour le plaisir. Ils passent la plupart de leur temps à se cacher dans les quelques forêts leur restant, craignant l’arrivée des humains, car leur rareté fait de leur pelage une peau très prisée parmi les hommes, ils sont donc chassés et plusieurs Asheti craignent leur extinction.
Dernière édition par L'Érudit le Lun 24 Nov - 14:13, édité 2 fois
Les Nobles déchus sont des créatures étranges, car elles se trouvent quelque part entre le monde physique et le monde des fantômes. Ces fantômes ont toujours une apparence entièrement humaine seulement marquée par la blessure qui a causé la mort du Noble (généralement une épée plantée dans le torse, ou une dague plantée dans le dos). Leur visage ne reflète aucune émotion, mais ils apparaissent exactement comme lors de leur vivant. Quelqu'un les ayant connus par le passé pourrait les reconnaître. Ils ont l’air fantomatique et sont toujours armés de leurs armes, même s’ils ne les portaient pas lors de leur mort. Ils montent toujours un destrier de guerre amuré, d’une armure de métal, renforcée de chaines et de piques, en fait l’armure sert à prévenir ses ennemis que le cavalier arrive, dans l’ultime but de créer une chasse plus intéressante pour eux.
Mode de vie
Les Nobles déchus n’ont pas particulièrement de mode de vie, pour ainsi dire, ce sont des créatures qui reviennent d’entre les morts une fois par lune afin de se venger ou d’inciter les gens à le venger. Leur mort est toujours horrible et ils sont toujours victimes d’une très grande trahison. Plus la trahison est grande, plus l’esprit sera puissant et plus il voudra se venger. Il parcourra pour l’éternité s’il le faut la surface du monde dans l’espoir de retrouver cette personne ayant causé sa perte. Ils sont très déterminés et dévoués à leur cause, heureusement parce qu’ils reviennent une fois par mois pour fouler le monde, toujours la journée de leur mort. Si une personne vient à libérer l’âme du défunt en apaisant sa colère, il apparaitra une dernière fois avec son destrier pour partir vers la Mer des Brumes.
Nuniu
Esprit shamanique
Image copyright de PavelE
Statistiques
Physique
■ ■ ■ ■ ■ ■ □ □ □ □
Agilité
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Mental
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Pouvoir
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Magie
■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ □
Fiche
Fréquence
■ □ □ □ □ □ □ □ □ □
Puissance
■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ □ □ □
Agressivité
■ ■ ■ □ □ □ □ □ □ □
Habitat
Marais
Taille
3 m à 6 m
Poids
Plusieurs tonnes
Description physique
Les Nuniu n'ont pas une description physique commune : ce sont des créatures faites d'éléments entièrement naturels (roche, branches, racines, feuilles d'arbres), ce qui fait qu'elles se fondent parfaitement dans leur environnement. En fait, leur corps est composé de ce qui se trouve autour du lieu de leur création. Ils ont une forme rappelant vaguement celle d'un humain, outre le visage qui n'a généralement pas des traits définis, rappelant plus ceux des grands singes, mais la nuance est subtile. Leurs yeux sont généralement au nombre de deux et toujours de la couleur des yeux shaman à la base de sa création (voir plus bas), donc généralement des tons terreux, gris, bruns ou encore verts. Ils ont des membres squelettiques faits généralement de racines d'arbres, et on les trouve toujours à demi dans l'eau, mais ils ont bel et bien des jambes semblables qu'ils n'utilisent que dans de rares occasions.
Mode de vie
Les Nuniu n'ont pas de mode de vie à proprement parler. Ils se terrent dans les eaux de leur marais et y restent bien sagement, pouvant rester endormis pendant plusieurs générations avant de subitement se réveiller. Ils se nourrissent de ce que leur offre leur environnement immédiat, c'est-à-dire de petits mammifères ou amphibiens. Ils sont très sages, et on cherche souvent leur conseil. Il est dit chez les Asheti qu'ils sont l'esprit des Shamans perdus. Ce qui n'est pas tout à fait faux. Ce ne sont pas des créatures naturelles, il s'agit en effet de l'esprit de rares shamans ayant erré trop longtemps dans les bois à la recherche de quelque vision prophétique, en général ils se sont perdus dans les eaux, et n'ont jamais été retrouvés, pourtant ils ne gardent pas une honte ou une haine de leur condition bien que certains pourraient se montrer plus agressifs.
Dernière édition par L'Érudit le Lun 24 Nov - 14:20, édité 2 fois
Les Obscuriæ sont des créatures de taille moyenne, qui ressemble vaguement à des Naveediels recouverts d’une grande cape sombre. Leur peau est très sombre sous la capuche si bien qu’on ne la voit jamais véritablement, la seule chose particulièrement notable est l’absence de signe distinctif. Il est impossible de décrire le visage d’un Obscurias autrement que par des mots simples comme obscurs, étranges, anormal. Ce qui est certain est que leurs yeux et leurs bouches ressemblent à des trous sans fond rouges donnant sur la Mer des Brumes Ensanglantée. Ces créatures ont de longs bras, mais généralement pas de jambes, elles portent toujours des marques de leur mort. Ce sont des créatures entourées de brumes et de mystère craints par tout Naveediel comme étant les sombres esprits de ceux qui n’auraient pas traversé jusqu’à la Mer des Brumes.
Mode de vie
Ces créatures ne vivent pas vraiment, elles ne respirent pas, ne mangent pas, ce sont des esprits amers et déchirés qui parcourent souvent le site de leur mort à la recherche d’âme en peine à troubler. Elles se nourrissent des émotions négatives des gens, de leur peur, de leur colère et de leur haine. Si une victime résiste trop longtemps, l’Obscurias pourra passer à l’attaque et tenter d’amener celle-ci vers la mort, dans l’espoir de pouvoir la suivre vers la Mer des Brumes et de retrouver son chemin.
Ces diables ont subi une des pires hontes possibles, souvent par leur propre faute. N'ayant plus le don de la vue, le crâne de ces pauvres âmes se modifie pour faire disparaître complètement l'arcade surcillaire, mais aussi la partie du cerveau gérant la vision, et parfois même d'autres sens. Leur bouche est très grande, et un peu comme les requins, ils possèdent deux rangées de dents en haut et en bas. On dirait que leur chair est exposée, sans la moindre peau et parfois, lorsqu'ils sont très fâchés, du feu roule sur cette peau macabre. La forme des cornes de ces créatures dépend du moment de leur transformation et de ce qu'ils étaient avant, ils possèdent généralement des plaques qui sortent de leur chair pour former des piques hirsutes.
Mode de vie
C'est le châtiment qui attend tout être qui surprendra un Roi en train de faire une chose que même les diables considéreraient comme « illégale », ou encore qu'ils ont vu trop de choses. En effet, si l'âme de la personne en question appartient au Roi, il peut en faire ce qu'il lui plait, c'est à ce moment que sont créés les Okalarn. Ce n'est pas une promotion, c'est même une grande honte pour un diable, de n'avoir su respecter l'intimité de son maître, et ils peuvent servir ainsi l'éternité, ou jusqu'à ce qu'ils accomplissent un haut fait qui pourrait les faire remarquer positivement, ce qui leur donnera une autre forme, mais qui ne leur redonnera leur vue que très rarement.
Dernière édition par L'Érudit le Lun 24 Nov - 14:26, édité 6 fois
Les Rau’s sont des créatures de grande taille rassemblant des caractéristiques conjointes entre les créatures marines et les chevaux. Plus longs que des chevaux terrestres les Rau’s ont une allure qui pourrait sembler monstrueuse. Ils ne sont cependant pas plus méchants que le cheval de guerre le plus ordinaire. Ils possèdent une carapace chitineuse, des dents acérées et de longues griffes leur permettant de se battre. Dans l’eau, ils se meuvent avec une agilité hors pair malheureusement sur la terre, ils deviennent légèrement maladroits, à cause de leurs pattes plus petites et de leur queue, qui, dans l’eau, leur sert en quelque sorte de gouvernail. Leur couleur varie généralement du bleu foncé au verdâtre, mais des spécimens jaunes ont déjà été aperçus.
Mode de vie
Ces créatures sous-marines vivent à peu près n’importe où dans les océans, mais elles peuplent généralement les régions chaudes. Leur cycle de vie est d’environ quarante ans ce qui permet aux Vodnì qui les élèvent et les montent de forger un lien très profond avec ceux-ci. Ce sont des créatures très intelligentes, vives, mais facilement contrôlables. Ils choisissent généralement leur cavalier, ce qui les rend très prisés, malheureusement leur cycle de reproduction est très lent et ils sont très capricieux pour ce qui est de trouver leur partenaire.
L'impression première que donnes les Ruul est une sensation d'immensité. Les plus grands spécimens peuvent faire plus de deux cents mètres de la tête à la queue. Ce sont de grandes tortues dont la carapace contient des ballasts qu'elles peuvent remplir à volonté d'eau ou d'air, ce qui leur permet de changer leur densité de manière rapide. Les histoires abondent sur des marins qui abordent une île et y établissent un campement pour la nuit, pour découvrir ensuite que l'ile en question est bien vivante et est en train de plonger sous les eaux.
Mode de vie
Passant la majeure partie de leur temps dans l'eau, elles sont omnivores. Elles filtrent l'eau à la recherche de plancton, de petits poissons ou bien de kelps et d'algues flottantes diverses. Il leur arrive d'hiberner pendant de longues périodes de temps, leur carapace remplie d'air flottant à la surface finissant par se couvrir d'une maigre végétation, ce qui renforce encore l'impression d'ile. Elles ne remontent sur terre que pour pondre, laissant des œufs plus grands qu'un homme et durs comme du granit posé près des plages.
Dernière édition par L'Érudit le Lun 24 Nov - 14:33, édité 4 fois
Il est très difficile de faire une description sommaire des Shaelani qui sont tous différents. Il s'agit toujours de créatures fort monstrueuses, énormes mêmes, qui ont une apparence seulement vaguement humanoïde. Le haut de leur corps consiste d'une énorme tête recouverte de plaques écailleuses, de cornes et de piques, avec une immense gueule pleine de dents pointues et avec une longue langue rouge comme le sang. Toute leur colonne vertébrale est recouverte de lames aussi acérées que les meilleurs couteaux et de leur dos dépassent généralement des ailes ou de grands membres ressemblant à d'énormes cornes pourvus aussi de piques. Leurs bras sont disproportionnés, très longs et très gros, les mains des Shaelanis ressemblent plus à d'énormes pattes griffues. Une chose est certaine, c'est que le bas de leur corps n'est pas très fonctionnel dans le monde réel, mais dans le monde des songes, oui. De longs filets d'ombres, noirs, le portent tout simplement, comme si toute sa forme reposait sur une masse sombre et dangereuse, ses filets peuvent ressembler à des tissus bougeant dans le vent lorsqu'il se déplace dans le monde des songes.
Mode de vie
Ces créatures naissent même des cauchemars des Naveediels. Les Shaelani sont des créatures craintes et détestées par tous, car elles sont malignes et fort intelligentes. Elles se tapissent dans le monde des songes, observant les rêves de chacun, et lorsqu'une personne fait un cauchemar trop réel, il est possible qu'un Shaelan réussisse à se glisser dans le monde réel. Ils sont cependant bien plus dangereux dans leur propre domaine, celui des songes. Il peut arriver que certains y restent, attendant les visiteurs égarés, car il est possible que l'inverse arrive, si un rêveur est trop pris dans son cauchemar, il pourrait bien s'y rendre et c'est là que le territorial Seigneur frappe. Ces créatures sont d'ailleurs une des raisons qui incite les Naveediels à pratiquer avec beaucoup d'attention la Science des Rêves, l'oniromancie et l'Hypnose.
Certains pensent que ces créatures seraient parentes avec les Wilkan, de par leur allure physique, mais les Shunkaha sont beaucoup plus sveltes et athlétiques, si bien que personne ne penserait les prendre comme monture. Leur corps ressemble vaguement à celui d’un loup, recouvert complètement de plantes de taille différente et de verts différents, lui offrant un parfait camouflage dans la forêt. Ils sont bas sur pattes et leurs yeux ressemblent à des perles brillant légèrement sous les rayons du soleil. Ils semblent se fondre dans le sol avec une grande aise, couvrant des distances énormes en un très court laps de temps. Finalement, leur queue ressemble à de longues touffes de mousse qui frôleraient le sol en permanence, se joignant ainsi au sol.
Mode de vie
Tout d’abord, les Shunkaha sont des animaux bien physiques, ils ne sont pas des élémentaux, mais bien une étrangeté qui est apparue peu de temps après la Chute et qui a perduré pour devenir une race à part entière. Ils sont des carnivores rapaces, ils adorent manger, et ils ont peine à faire des réserves pour les hivers parfois très froids. Leur société est hiérarchique, ils vivent en petit troupeau qu’on prend soin d’appeler bande de chasse, ils sont sociables avec les humains et n’attaqueront pas sauf s’ils sont certains de gagner le combat ou pensent avoir une chance ou ont vraiment très faim. Ils sont rapides. Beaucoup plus que l’humain, mais leur intelligence limitée les rend relativement moins dangereux dans l’œil des Asheti qui les côtoient.
Il est impossible de déterminer la taille ou le poids véritable de ces majestueuses créatures habitant les cieux. Bien entendu, puisqu'elles flottent dans les airs, il est communément admis qu'elles soient plus légère que l'air même, mais cela est difficile à déterminer. Leur apparence extérieure rappelle celle des nuages. Leur épiderme s'adapte à la température extérieure, prenant leur apparence générale afin de s'y fondre parfaitement. Outre leur bouche béante, s'ouvrant sur ce qui semble être un vortex de couleurs, les Swalach possèdent six longs tentacules qui leur permettent de s'orienter dans leur environnement, car ces créatures ne possèdent pas d'yeux.
Mode de vie
Les quelques rares spécimens de Swalach relèvent plus de la légende que de la vérité car peu de gens peuvent se vanter d'en avoir même croisé un. Sans agressivité aucune, ces grandes créatures balaient les cieux et les nettoient de ce qu'elles trouvent. L'idée de se retrouver dans l'estomac d'une de ces bêtes est certes terrifiante, pourtant, sans agressivité, elles ne chassent pas par plaisir. Elles se laissent porté au gré des vents, cherchant la nourriture où elles peuvent la trouver. Ces baleines célestes habitent les cieux, se reposant en se laissant dériver entre les nuages. Il leur arrive de descendre près de la surface, ce qui fait dire à ceux qui l'habitent que le ciel est bas. Sans consciences du jour ou de la nuit, ou même de leur environnement, on pourrait les croire sans danger, mais les quelques Easÿels relatant leurs rencontre avec les Swalach disent que ceux-ci savent contrôler la température et faire jouer les cieux à leur avantage.
Dernière édition par L'Érudit le Lun 24 Nov - 14:43, édité 8 fois
Majestueuses, ces créatures sont souvent prises pour des êtres célestiaux. Ce sont en fait de grands félins multicolores qui sont cependant bien plus grands que les lions ou les tigres que l'on retrouve dans la savane, bien que moins agiles aussi. Ils sont pourvus de grandes ailes leur permettant de se déplacer dans les airs et une force considérable pour porter leurs cavaliers et attaquer en vol.
Mode de vie
Ces créatures ne vivent plus dans la nature depuis fort longtemps. Elles vivent en captivité et elles sont élevées par une tribu de Dra'ani Verlaanti de la savane. Elles sont principalement carnivores ce sont principalement les femelles qui chassent. Il ne faut pas les déranger, puisque les chasseuses peuvent se montrer fort dangereuses, mais elles ont rarement à le faire comme les Therax Axacar sont nourris et dressés. Ces créatures sont habituées au combat, tant par elles-mêmes qu'avec leurs cavaliers. Il n'est donc par rare de les voir en barde, par exemple, ou chargeant à toute allure. Elles sont fort douces avec leurs maîtres, et, intelligente, elles savent le reconnaitre d'entre tous. Il arrive même qu'elles le choisissent elles-mêmes. Ce sont les montures privilégiées des Grands Guerriers, mais certains pourraient avoir l'idée sotte de les vendre, ce qui leur rapporterait beaucoup d'argent, certes, mais jamais autant que la valeur d'une monture loyale, forte, et qui sait ce que veut son maître.
L'apparence des Thmavas n'a absolument rien d'inspirant à qui lui jette un premier coup d'oeil. Ce sont de grandes créatures vaguement humanoïdes sans jambe, sans coeur et sans visage défini, rappelant un peu les Obscuriæ. Elles ont un coeur en feu qui parait au grand jour, et le feu semble se répandre dans leur forme. Leur corps au complet est fait d'ombre et semble couvert de piques et de cornes, et ils semblent translucides ou presque, sauf pour ce centre en feu. Il arrive d'en voir, qui sont entièrement de feu, mais c'est très rare (voir plus bas).
Mode de vie
Les créatures que sont les Thmavas n'inspirent certes pas confiance et sont souvent méprises pour des Obscuriæ, mais il n'en est rien. Ce sont des créatures à l'apparence terrible, mais qui, contrairement aux défunts Naveediels communs n'ont pu rejoindre la Mer de Brumes. Mortes durant leur sommeil, pour une raison ou une autre, ces personnes ont été enfermées trop longtemps dans le Monde des Songes, ce qui les a perverties et rendues dépendantes aux cauchemars. Il est bon signe d'en voir un car cela apaise toujours les rêves d'une victime en proie à de terribles cauchemars. Il est possible de s'adresser à elle en Letharather seulement, et de leur demander leurs services. Malgré leur apparence, ce sont de bonnes créatures dans l'âme qui ont seulement été au mauvais endroit au mauvais moment.
Dernière édition par L'Érudit le Lun 24 Nov - 14:48, édité 2 fois
Les Ugzmak sont des démons qui sont peu fréquents, très gros et très imposants. Leurs cornes qui rappellent plus celles des caribous que celles des autres animaux sont un autre signe distinctif. Leur corps est couvert de plaques osseuses en forme de pique qui sortent de leur peau. Leurs yeux sont généralement orange et brillants légèrement dans le noir, comme les flammes de l'Enfer. Leurs pieds sont en fait de larges sabots ressemblant à ceux de très gros buffles, mais ils semblent disproportionnés comparativement à leur si gros corps.
Mode de vie
On peut considérer ces créatures comme des légionnaires. Elles composent, avec les Okarlan, les troupes de bases des grandes armées infernales, mais ce sont des officiers gradés. Ils sont très grands, très forts et très appréciés par leur maître, on va jusqu'à dire que leur intelligence, bien que très pratique et adaptée au monde de la guerre, est un atout considérable dans leur position. Généralement, on devient un Ugzmak à partir d'un rang inférieur, il n'y a pas vraiment de naissance, mais il est possible qu'un maître prenne une âme pour créer directement un Légionnaire.
Dernière édition par L'Érudit le Lun 24 Nov - 14:51, édité 2 fois
L'ÉruditAdmin
Date d'inscription : 10/06/2013 Messages : 388
Sujet: Re: Bestiaire Dim 21 Juil - 17:55
Vorca
Grotesque horreur des chaleurs incontrôlables
Image copyright de Perzo
Statistiques
Physique
■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ □ □ □
Agilité
■ ■ □ □ □ □ □ □ □ □
Mental
■ □ □ □ □ □ □ □ □ □
Pouvoir
■ □ □ □ □ □ □ □ □ □
Magie
■ □ □ □ □ □ □ □ □ □
Fiche
Fréquence
■ ■ ■ ■ ■ □ □ □ □ □
Puissance
■ ■ ■ ■ □ □ □ □ □ □
Agressivité
■ ■ □ □ □ □ □ □ □ □
Habitat
Villes surpeuplées
Taille
1,5 m à 2m
Poids
Inconnu
Description physique
Ces créatures ne ressemblent pas à quelque chose de vivant. Il s'agit en fait de corps gluants, ayant une forme relativement humanoïde, pourtant toutes leurs chaires et leurs os semblent en train de fondre, aux prises avec cette glue dégoûtante. La glue ressemble à une matière visqueuse de la couleur du sang, mais portant aussi les tons de verts associés à la pollution. Le haut de leur corps est relativement humanoïde, si ce n'est que pour cette glue déformant chacun des traits caractéristiques des marcheurs de terre, cependant, le bas de leur corps est une masse visqueuse ressemblant plus à une flaque desquelles sortent leurs membres, d'abord des jambes sans forme aucune, faisant partie de cette masse relativement informe et les bras qui parfois rejoignent le sol, ils marchent toujours juchés vers l'avant, penché, mais ils peuvent sortir des mains meurtrières de celle-ci. Ils se déplacent très rarement voire pas du tout.
Mode de vie
Le corps grotesque de ces êtres n'est en fait que l'incarnation immédiate de la pollution, du sang et de la chaleur. Ils naissent donc dans les endroits chauds et humides, parfois pollués, mais pas toujours, et ils se nourrissent de tout, surtout de déchets. Ces éboueurs dégagent une odeur horrible, et leur vue n'est pas très belle à proprement parler, ils sont donc chassés presque immédiatement. Les Vorca ne sont pas très dangereux, ils sont stupides et régis surtout par un estomac sans fin qui leur permet de se nourrir ad vitam eternam, si le coeur leur en dit.
Dernière édition par L'Érudit le Lun 24 Nov - 14:53, édité 2 fois
Cette créature existe en deux formats, pourtant il s’agit bien de la même espèce. Les plus petits, les Wilkan sont des créatures de la taille de loups arctiques, alors que leurs cousins sont bien plus grands. La grande différence avec les loups ordinaires est que leur pelage semble fait de neige. Il glisse entre les doigts et dans le vent, mais le corps même de l’animal est glacial au touché, dur comme la plus dure des glaces, froid comme le plus froid des hivers. On voit entre les brins de neiges passant de longs filaments bleutés qui composent la structure même de ces créatures très nobles et très agréables. Ils sont très difficiles à tuer, car il faut complètement défaire leur noyau central composé de la plus pure des glaces autour de laquelle se massent d’autres glaces et de la neige. Les Amraq’n sont semblables, mais sont assez grandes pour servir de monture aux Laikens.
Mode de vie
Personne ne connait grand-chose sur les Wilkan dans leur état naturel, mais on assume que, comme les runes, ils sont une condensation née en présence d’un élément très fort. Leur conscience serait donc développée après leur corps. Ce sont des créatures très peu agressives qui semblent être toutes faites pour vivre en captivité. Ce sont des montures et des gardes de grande valeur pour les Laikens, car elles ne dorment que quelques heures et ne mangent pas.
Dernière édition par L'Érudit le Lun 24 Nov - 14:58, édité 2 fois